Qui est Marie Claire ?

Fondé à Paris en 1937, Marie Claire s’est imposé comme l’un des magazines féminins les plus influents au monde avec plus de 80 millions de lectrices et trente éditions internationales. En France, la version papier reste un incontournable des kiosques tandis que marieclaire.fr attire plusieurs millions de visites mensuelles grâce à un ADN unique : mode pointue, sujets de société engagés et mise en avant d’entreprises responsables. Être mis en lumière par un titre aussi exigeant équivaut, pour une jeune marque indépendante, à un véritable label de crédibilité.

Comment notre histoire est arrivée jusqu’à leur homepage ?

Cet article est le fruit d’un échange transparent. Tout commence par un e‑mail : une journaliste repère notre approche « sur commande » et s’interroge sur nos ateliers situés à moins de 30 km de Barcelone. Lors d’un entretien vidéo, nous détaillons l’origine de notre coton biologique, notre mélange coton‑lin et notre grille salariale. Quelques jours plus tard, l’équipe éditoriale nous rend visite : photos d’atelier, interviews des couturières, discussions sur l’empreinte carbone de nos livraisons européennes. Convaincu·e·s par l’alignement entre nos actes et nos mots, le comité de rédaction consacre alors une pleine page à « la révolution douce d’un vestiaire éthique, local et sans compromis ».

Ce que l’article met en avant

Essentiels durables, bien coupés

Le reportage souligne la qualité de nos fibres certifiées et la justesse de nos coupes conçues pour un vestiaire capsule intemporel.

Production en circuit court

De la filature à l’assemblage, chaque étape se situe dans un rayon de 30 km autour de Barcelone : un choix salué comme rarissime dans l’industrie.

Modèle sur commande

Marie Claire détaille comment la fabrication à la demande supprime le surstock et réduit drastiquement le gaspillage textile.

Transparence totale

La rédaction insiste sur notre engagement à publier la liste de nos partenaires et l’analyse de coût par étape — preuve qu’esthétique et éthique peuvent coexister sans storytelling trompeur.

Pourquoi cette parution compte pour Pamuuc — et pour vous

Cette mise en avant dépasse le simple article presse :

  • Crédibilité renforcée : les lectrices françaises, belges et luxembourgeoises s’appuient sur l’exigence de Marie Claire pour dénicher des marques fiables.
  • Visibilité transfrontalière : le réseau international du magazine ouvre une fenêtre vers l’Allemagne et d’autres marchés sensibles au haut de gamme responsable.
  • Validation externe : l’article confirme auprès du grand public que notre modèle — coton bio, lin, ateliers locaux, salaires décents — tient la route.
  • Opportunités B2B : invitations à des salons éco‑mode, collaborations influenceurs « test & learn » et prises de contact de concept‑stores engagés.

Ce que cela change pour la mode durable

Quand un titre grand public met en avant une marque sur commande, il élargit le débat : produire moins mais mieux devient une option désirable, pas une niche. Cela encourage :

  • Les consommatrices à vérifier l’origine et la quantité de leurs achats.
  • Les médias à traiter l’éthique comme un critère aussi important que le style.
  • Les marques traditionnelles à revoir leurs chaînes d’approvisionnement pour rester crédibles.

Bienvenue aux nouvelles lectrices !

Si vous découvrez Pamuuc grâce à Marie Claire, bienvenue ! Sur notre Journal de durabilité, vous trouverez des guides pour composer un vestiaire responsable, des interviews d’artisans barcelonais et notre rapport d’impact annuel. Si l’article vous a donné envie de passer à l’action, notre collection coton‑lin vous attend — toujours coupée à la commande, jamais en surproduction.

Lire l’article complet sur Marie Claire

Pour consulter la publication originale, rendez‑vous sur marieclaire.fr. Bonne lecture !

Leonardo Gobbato